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Etrange comme rêve....

J'ai fait ça une fois avec mon copain : il se faisait tuer quasiment sous mes yeux et je laissais faire. La même nuit, il rêvait qu'il m'enterrait chez lui...
Sympa...


Celui de cette nuit :
Mon frère doit prendre le tramway pour aller quelque part dans Châteauroux.
La gare est trop loin de là où il va apparemment.
On part de chez mon cousin.
Ma mère me demande de les accompagner.
J'ai un papier dans la main quand je sors et je lui demande si je dois le prendre ou pas car c'est elle qui me l'a donné.
Elle finit par m'entendre (elle était partie assez loin devant) et me dit de le poser quelque part, qu'on n'en a pas besoin.
Je redescend vite le glisser sous la porte puis nous partons. Nous sommes un peu en retard.
Je leur dit qu'il ne faut pas trainer.
Ma mère dit que oui, il ne faudrait pas le rater parce qu'en plus c'est cher.
Mon beau-père (qui sort d'on ne sait où) lui dit que sinon fallait qu'il (mon frère) s'arrête au tunnel suivant, avec le train.
Là mon frère s'arrête pour remettre son lacet de chaussure.
Ce sont des **Chut chut pas de marque** et je lui fais remarquer qu'elles sont très confortables.
J'ajoute une nouvelle fois qu'il ne faut pas trainer.
Là on passé à côté de deux miroirs.
Mon frère s'arrête, se regarde, réajuste son chapeau...
Mais dans le miroir ça n'est pas son reflet.
On descend l'escalier qui mène au jardin de ma grand-mère.
(ce n'est pourtant pas un raccourci pour aller à la gare ! T'façons y a pas de tramway là-bas ^^)
On finit par arriver dans le jardin, mais il est pas comme ça le sien en vrai.
Dans l'escalier on croise une femme avec deux enfants d'environ 5 ans, qui portent le même déguisement que mon frère.
(disparus le chapeau et les chaussures...)
Le costume est jaune et noir et comporte deux gros yeux façon mouche sur le visage.
Les deux gamins disent "Oh ! C'est aussi un agent du capitaine Diffental" (ou un nom comme ça)
On continue à descendre et là je commence à jouer avec une branche d'arbre, je sais pas pourquoi.
Je la tire un peu vers le sol et je la relâche, ce qui fait qu'elle remonte. (ouaaaah, passionnant pas vrai ? )
Je fais ça deux ou trois fois et là je m'aperçois qu'il y a le feu au milieu de la branche.
Je me dépêche de l'éteindre.
Je ne sais pas où sont mes parents et mon frère.
J'entends des gens parler : "Il criait : "faut éteindre le feu !! faut éteindre le feu !!" Alors bah je l'ai éteint."
Pendant ce temps je joue avec une autre branche, comme je faisais juste avant.
Elle s'enflamme au bout.
Trop tard je l'ai lâchée, je ne peux plus la rattraper elle est très haute et assez grosse !
Je me mets à crier "Faut éteindre le feu ! Faut éteindre le feu !!" mais personne ne réagit.
J'appelle ma mère qui est juste devant moi et regarde, impuissante, la flamme courir le long de la branche.
Alors j'appelle mon beau-père qui est en train de parler avec des gens.
Un des hommes regarde et ne réagit pas.
Je crie encore "Faut éteindre le feu !! Faut éteindre le feu !!"
Là on voit un morceau de la branche, le bout, tomber devant nous.
Ca ressemble plus à une grosse boule de charbon qui fume en fait...
L'homme me dit : "C'est pas grave ! Deux ans de moutarde Chiquita et ça réparera les dégâts !"
J'insiste, paniquée, je lui dis que le feu va se propager sur tout l'arbre et enflammer les autres arbres qui sont là aussi !
Mais il me redit "C'est pas grave ! Deux ans de moutarde Chiquita et ça réparera les dégâts !"

FIN

Je sais pas ce que je préfère: mon rêve ou l'histoire de la moutarde chiquita dans le métro de chateauroux.
à ta place j'aurais peur...

Y a pas de métro à Châteauroux et du coup on n'est jamais arrivé au tramway (qui n'existe pas)

Mais reconnais que je suis moins violente moi, en rêve : je mets juste le feu aux arbres !

Je suis dans un immeuble à Paris, près de la Tour Eiffel, je suis chez une femme que je ne connais absolument pas, en vrai. Nous nous prenons la tête sur je ne sais plus quoi, et je m'en vais de chez elle. Je descends les escaliers, il fait sombre, j'arrive enfin dehors, en pleine rue, il fait nuit, je regarde ma montre, il est 3h du mat, je suis en plein Paris et je ne sais plus où aller. Je pense à téléphoner à C. mais je me dis que ça va pas, l'appeler à cette heure là serait très con, il m'a dit qu'il était toujours là pour moi, mais j'ai plus 15 ans, pas question de le déranger en pleine nuit. Alors je marche, je marche, et j'arrive devant une station de Métro, à vue de rêve, je pense qu'il s'agissait de la station Bir-Hakeim, et mon rêve s'achève.

Heureusement qu'il n'y a pas de station de métro Châteauroux à Paris, sinon on était mal...

tu sais avec les rêves rien ne m'étonne

C'était le matin, j'étais avec ma meilleure amie (non, pas Lorie), et on discutait beaucoup, on faisait un peu les cons, bref, c'était marrant. Et elle me disait : "Bonne chane pour l'émission de ce soir".

En effet, l'après midi j'allais dans un batîment un peu à part, c'est-à-dire la scène du prime d'American Idol (le Nouvelle Star version US - au passage, j'vous conseille de toujours regarder les premières auditions, y'a de quoi avoir des crises de rires), pour recevoir le texte que je chanterai le soir. Et pis bah c'était un duo, et l'autre conaissait déjà son truc, et avait du mal à me dire ce que MOI, je devrait chanter.

Une fois su, je commençais à répéter pour le soir. C'était catastrophique, mais tout le monde qui était présent applaudissait. Et même en ne connaissant pas par coeur les paroles, j'me suis dit : "allez pas grave, t'as fait la même au bac".

Pis viens le soir, je comence à chanter de manière catastrophique, oubliant la plupart des paroles, les remplaçant par des phrases inventées voire des "hummmm" bien gores.

Et tout le monde était content, le jury me disait quelque chose du genre "bien, bien!", le public applaudissait, bref carton général.

Et dans la foulée, je jouais à NBA Street avec mon amie (celle du début), et, au moment où elle me mettait le panier du 21-0, synonyme de défaite pour moi, je me réveillais.


Space, nan?

Cette nuit, tôt ce matin plus exactement, j'ai rêvé qu'on se faisait cambrioler.
Y avait un type cagoulé accroché à la fenêtre de la salle de bains (je le voyais derrière la vitre) et il était sur le point de rentrer.

Je me suis réveillée...

En entendant quelqu'un sortir de la salle de bains !!
Mais bon ça va, c'était juste ma maman. OUF !!

Cette nuit j'étais vers Montmartre (ndlr, j'adore Montmartre) et je marchais sur une avenue que je ne connaissais pas, quand soudain la vitrine colorée et acidulée d'un magasin m'a interpellée, j'y suis entrée, et là, il y avait une foutitude de gadgets et autre babioles très très chouettes... J'en avais acheté plein tout en étant scotchée au téléphone avec mon copain, et lorsque je suis sortie du magasin, je me suis rendue compte que j'avais omis d'acheter un arrosoir jaune fluo pour mes petites plantes... J'ai donc fait demi-tour pour en prendre un, et le magasin en question est devenu un terrain vague...

(moralité : quand t'es dans un magasin, oublies rien)

J'ai encore rêvé de carnage, mais c'était super pas flippant.
On entrait dans une maison sur un boulevard genre "Melrose Place" la nuit, avec mes parents, mes frêres et d'autres gens super bien habillés.
Sauf que personne n'avait la tête qu'il a dans la réalité mais j'ai reconnu tout le monde.

On ressort après avoir pris des trucs "chez nous", genre vite on va être en retard, d'ailleurs c'est une sacrée baraque, et il manque des gens en ressortant, deux filles, bien entendu.
On va voir avec mon père et on trouve le carnage: du sang partout, un cadavre dans les chiottes...
On décide de ressortir et de dire aux autres qu'elles nous rejoindront plus tard.
Va comprendre.
Enfin on passe une super soirée, personne s'inquiète pour les absents et quand on revient y'a des flics partout à la maison, mon frêre dit à mon père de s'assoir parce que c'est pas beau à voir, et moi je lance: mais il sait déjà!!
Les flics s'en balancent, ils continuent à aller et venir, super, c'est des flics...
Et puis voilà, on est tous contents, tout va bien, aucun problème...

Nuit du 22 au 23 aout 2007

Je veux prendre une belle photo d'un coucher de Soleil très beau.
Je prends l'appareil et vais vers la fenêtre ouverte, je commence à cadrer ma photo.
Je me demande dans quel sens je vais bien pouvoir la prendre... Mmmmh... Paysage ? Portrait ? ...
Je finis par me décider pour le paysage et là, je vois les nuages, mais pas le Soleil.
Quelque chose a changé, mais quoi ? Il est passé où, le Soleil qui était au milieu des nuages ?
Ah tiens, il est caché par cette énorme porte...
C'est une immense porte en bois qui donne sur une cour (ou une maison) située plus haut par rapport à moi, dans l'axe du Soleil.
Elle n'était pa ouverte tout à l'heure...
Je baisse mon regard et là je croise celui d'un type bizarre en face (bizarre dans sa façon de me dévisager)
(Il y a une cour et une maison qui arrivent juste sous ma fenêtre)
(je sais vraiment pas où j'habite moi !!! lol)
Je veux refermer la fenêtre, mais je pense qu'il m'a vue...
Et s'il pensait que je le photographiais ? Il avait vraiment un drôle de regard...
Je vais ranger mon appareil.
Pas le temps de refermer la fenêtre, il rentre dans l'appart avec un autre homme !
Il a le visage assez pâle, de cheveux bruns, raides, qui tombent sur ses épaules.
L'autre homme est noir.
Ils me demandent (ou plutôt m'informent qu'ils ont décidé) de traverser mon appartement pour ressortir vers l'escalier.
(ça leur évite de faire le tour de mon immeuble quoi...)
Je voudrais bien les empêcher (mais vu ma corpulence, je ne vois pas trop comment...)
Ils passent, traversent la salle à manger et ressortent vers l'escalier.
J'ai eu très peur !
Mes parents sont avec moi (depuis quand, je l'ignore, je viens de les voir ! lol)
Je raconte à mon beau-père ce qui vient de se passer.
Il répond un truc genre que le principal est qu'ils soient partis, bref ça ne l'inquiète pas plus que ça...
Mes parents s'en vont.
Je trouve un autre homme chez moi, il est entré par la fenêtre de la salle de bains et veut ressortir vers l'escalier aussi.
(mais c'est un vrai moulin cet appart !!!)
Là je commence à avoir très très très peur...
Mmmmh... Je devrais peut-être en parler au mec du syndic ?
Et s'ils étaient venus faire du repérage ? Ils vont revenir alors !!
J'aperçois les deux chats de mes parents. (qui semblent être à moi dans cette histoire...)
Et d'un coup, je les revois, complètement ailleurs !! (flippant...)
Princesse passe, avec Jade inanimée sur son dos...
Je m'apprête à ramasser Jade pour voir ce qu'elle a et là, je la revois plus loin, chez moi !
Je trouve aussi une autre Princesse !
Je ne sais pas lesquelles sont vraies ! Les vivantes ou les autres ..?
Il faut que j'appelle mes parents, tout de suite !
Bon sang, c'est quoi le numéro déjà...
01.... 64.....
Non, Melun, c'est 03... 44... 48... (ouais, j'ai réussi à penser ça en rêve... C'est ptêt ça qui m'a réveillée d'ailleurs !!)
Et les deux derniers ???

FIN

(et je me suis souvenue des deux numéros de téléphone à peu près 20 minutes après m'être réveillée et avoir écrit ceci...)

jpeux pas dire quoi, ni où, ni pourquoi, mais cette nuit j'ai rêvé que je parlais avec un petit oiseau posé sur ma main.

Dans la série Animalis...

Cette nuit j'ai rêvé d'une petite coccinelle qui était sur un pont et que je voulais sauver car je la sentais en danger (me demandez pas pourquoi, j'en sais rien) alors pour accéder à ce pont, j'ai volé une voiture et là impossible de passer la seconde, alors arrivée à quelques mêtres du pont qui ressemblait à celui de San-Francisco mais en marron, je suis descendue de la voiture et j'ai couru pour arriver à temps pour sauver la petite coccinelle. Quand enfin je suis arrivée sur ce pont, la coccinelle en question était sur le rebord du pont, et je me suis mis en équilibre pour la protéger du vent très violent et pour accéder à elle et enfin pouvoir la prendre dans ma main.

Puis réveil...sans ma coccinelle..

à mon avis t'avais trop bu avant ! t'étais cui(te) cui(te)...

Cette nuit j'ai rêvé de mon meilleur ami G..
C'était vraiment troublant, je le retrouvais enfin, j'étais avec lui, dans ses bras, il me portait, m'enlaçait, c'était un rêve très doux, très pur, il me souriait tout le temps, on a discuté, il m'a dit des choses que je n'avais pas compris y'a quelques années, et puis il était là, à mes côtés, toujours aussi beau. Je lui ai montré des photos de mes filles qui étaient sur mon portable il me disait que leurs yeux brillaient. Je n'arrêtais pas de lui répéter que j'étais bien avec lui, que j'avais toujours ressenti ce bien-être indescriptible avec lui, et que là, pour la première fois depuis sa disparition, je retrouvais cette merveilleuse sensation.