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Et dans la vraie vie, t'as du retard?

Non ! c'est bon, elles sont passées depuis quelques jours, mais justement j'avais eu super mal au ventre avant, et un jour de retard, alors j'avais un peu appréhendé, ceci expliquant cela !

Cette nuit, j'ai fait un rêve encore plus bizarre que d'habitude... J'ai rêvé que je rêvais... Mon rêve dans mon rêve était assez étrange et entre autres, j'y faisais une plaisanterie sur mon réveil qui sonne toujours très tôt.
C'est là que je me suis réveillée (dans mon rêve !)... Il était 9h15. Mon réveil n'avait pas sonné et j'étais terriblement en retard puisque je devais partir à 9h30 de chez moi ! Bon en ne déjeunant pas et en courant, ça devait être gérable. Alors je suis descendue en 4è vitesse dans la cuisine (histoire d'emmener un truc à manger parce que bon une journée sans petit déj...) et j'ai demandé à mes parents de me déposer à la gare. Il était 9h50, ou peut-être 10h10 : les deux pendules n'indiquaient pas la même heure. Je me suis demandé si mon réveil marchait bien, parce qu'il ne pouvait pas s'être écoulé autant de temps. J'ai demandé l'heure à mes parents, mais pas de réponse. J'ai pris mon téléphone portable pour regarder, mais je me suis retrouvée dans des pages que je ne connaissais pas et je m'en sortais pas. Je n'ai même pas pu appeler ma copine qui m'attendait à la gare ! Alors j'ai téléphoné à l'horloge parlante. J'ai composé deux fois le 3699, du moins je le croyais, car les touches (vertes fluo et illisibles...) de mon fixe n'étaient pas dans l'ordre !!
Et là je me suis réveillée (pour de vrai cette fois) en poussant un cri bizarre : il était 6h45...

Cette nuit, j'ai rêvé d'un resto où on composait soi-même son hamburger !
J'étais avec une amie, assise à une table et je regardais au mur les garnitures que j'avais droit de prendre. Je me souviens qu'il y avait énormément de beurre, plein de marques différentes, et du fromage aussi. Après y avait d'autres choses mais jme rappelle plus.

Ah et puis sinon j'ai fait un de ces rêves désagréables où on croit être réveillé et en fait non, donc on peut pas parler. J'essayais d'ouvrir la bouche et d'articuler, mais aucun son ne sortait et ma bouche était comme paralysée.

Alors je ne sais pas pourquoi, mais cette nuit je faisais partie intégrante de ce clip.

Lol j'espère que tu rêves po tout haut, sinon ça doit surprendre
de t'entendre crier la nuit

Moi je devais aller en cours avec une prof de maths (que je connais) mais qui était remplacée par une autre qui portait le nom d'une proviseur de lycée (moisie soit dit en passant). Pour aller dans sa salle, la "salle de contention" ça s'appelait, il fallait monter le long d'une échelle dans un tout petit tunnel, à peine plus large que moi. Le tunnel était jaune et l'échelle était bleue turquoise (quelle faute de goût !) Il était évident que je ne pouvais pas monter un truc pareil, c'était tout juste impossible ! Et je vous parle même pas de la descente derrière !
J'ai commencé à paniquer, à me demander comment j'allais faire pour ne pas aller à ce cours car il était hors de question que je monte là-haut. J'en parlais avec deux copines et puis le directeur de l'établissement est arrivé. Je lui ai dit que je ne pouvais pas monter là-haut et encore si jamais j'arrivais à monter, après je dormais là-haut parce que jamais, non non non jamais, je ne pourrais en descendre !
L'instant d'après, il était avec des pompiers, la zone était encerclée de bandes rouges et blanches, pour qu'on n'y aille pas et les pompiers constataient que le dispositif n'était pas aux normes. On ne pouvait pas donc pas monter comme ça. Alors les pompiers ont eu une idée géniale... (une de mes copines faisait partie des pompiers ! Elle était soudain en uniforme et tout !!) Donc leur idée géniale : passer par le mur extérieur !!! Je me retrouvai donc (comme les autres) harnachée et encordée, à escalader le mur, à l'envers, comment dire : le mur quasi-horizontal, au-dessus de moi !! Et puis je devais encore monter un peu et passer sous une plaque de béton armé : pour passer il fallait incliner la tête sur le côté tellement c'était petit...
Je me suis ensuite retrouvée deux jours après, avec le directeur de l'établissement qui m'a demandé ce que je pensais du dispositif des pompiers. Alors je lui ai dit que ça pouvait être amélioré mais que je préférais largement ça à l'échelle. Alors il m'a dit que oui, ça il avait vu ! Et après il en a rajouté des tartines pour dire à quel point j'étais hystérique et pénible...

C'est vrai que t'es hystérique et pénible, cela dit, t'exagères, c'est pas si terrible que ça.

Je me demandais de qui viendrait cette remarque !
Pas si terrible peut-être sauf quand t'as très peur du vide

Cette nuit je montre une photo et puis je dis aux personnes à qui je la montre "il était mon meilleur ami"
et puis je marche lentement et je vois derrière moi ces personnes qui me regardent partir.

alors d'abord je suis dans un magasin spécialisé dans la peinture artistique, y'en a de toutes sortes, et puis je cherche, je regarde un peu partout, je regarde les couleurs, les types de peintures, les palettes... Et puis je vois un portrait peint en bleu marine sur fond rose pale accroché au mur de cette boutique et je m'approche de ce tableau pourtant pas extraordinaire mais là il se passe comme une révélation, comme si ce portrait me disait "ok maintenant il faut que tu peignes toi aussi"
Et puis ensuite je vais à mon boulot, mais je suis sur l'autoroute, je suis à pied et je suis sur l'autoroute, avec pleins de gens aussi à pied, et puis on court, très vite, et je ne suis même pas essoufflée mais plutôt la grande pêche, et puis tranquille je double les voitures et tout.

Tel kool shen j'enchaine
Cette nuit j'étais avec un mec qui bosse dans ma boite et il était complètement ivre, il titubait alors je le soutenait et puis il avait l'air hyper fragilisé, quelque chose n'allait pas dans sa vie, et puis je suis pas sure mais je crois qu'il m'a parlé de ses enfants. (Alors que dans la vraie vie, il n'en a pas)
Et bref, ce matin, quand j'ai pris mon café avec lui, j'ai pas pu m'empêcher d'insister sur le "ça va, toi ?"

Cette nuit j'étais un mec... LOL Enfin je me voyais pas mais j'avais une voix d'homme.
J'étais avec plein de gens, hommes-femmes-enfants et on se sauvait de chais pas où. On était dans une prairie près d'une rivière. Alors on a vu une tribu arriver et j'ai crié "M*** ils ont coupé par la rivière !! Vite, faut se cacher !!"
On est monté derrière la forêt sur la colline.
C'est alors que j'ai vu deux hommes habillés de kaki, armes à la main, arriver au loin. Je n'ai rien dit aux autres, pour ne pas faire de bruit en priant pour qu'ils ne nous voient pas. Je les ai perdus de vue, puis à ma gauche j'ai vu revenir tous les enfants qui étaient partis jouer un peu plus loin, suivi des deux hommes qui braquaient leurs armes sur eux. Ils nous ont emmené.

Après ça je me suis rendormie, du moins je devais être en demi-sommeil, et je me suis vue tombant du lit, là juste devant moi...

J'aime pas faire des rêves comme ça. C'est trop bizarre.

Alors ben cette nuit, je suis vers le Trocadéro, y'a énormément de soleil, je marche dehors, j'appelle un pôte avec mon portable et puis je lui dit comme ça "avec mon copain on est en train de se séparer" et puis il me répond " ah ?... écoutes, je dois te laisser, j'dois aller chercher ma femme à la gare" et je lui dit "ok pas de soucis, c'est pas grave, bisous" et je raccroche et puis je marche et puis le soleil tape, les gens autour de moi sont joyeux, y'a pleins de couleurs, beaucoup de rouge aussi. Et puis je me retrouve encore au tel avec mon pôte comme si je rejouais la séquence d'avant et là je ressens un énorme vide en moi, un immense malaise, mal au ventre, les larmes qui arrivent, jme sens vide je lui dis "il est parti" et puis je me retrouve avec pleins de gens, je crois que c'est le départ d'une course, une sorte de marathon je crois, et puis y'a la fête autour de moi, et puis d'un coup je vois mes filles qui s'approchent de moi et je les embrasse et je leur dis "maman a besoin de rester seule" et puis grosse tristesse, je marche, je longe une vitrine où il y a des meubles rouges, des fauteuils rouges, beaucoup de rouge.

Je marchais le long d'une plage appelée "La Baie Mat" en Nouvelle-Calédonie...J'avais mon appareil photo, je me sentais bien, les rares personnes que je rencontrais étaient de ma famille...
J'ai rejoint mon grand frère sur un bateau et nous devions partir...Quand je me suis rendue compte que je n'avais plus mon appareil sur moi...
Je suis descendue en courant, et j'ai refait toute la plage à l'envers...J'ai retrouvé l'appareil, complètement rouillé...mais je sais pas pourquoi, je m'en fichais...je voulais juste retrouver ma famille, je me suis retournée et je les ai vu, le sourire aux lèvres, en attendant que je revienne !

Aaaaaaah, nostalgique de ce rêve, j'aimerais y retourner, c'était trop agréable

Je crois que l'année sans ma famille commence à sérieusement peser !
Hâte de rentrer ! J-62 !