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Moi cette nuit j'ai rêvé que j'étais au bord de la mer avec pleins de gens et y'a une petite barque qui est arrivée avec à son bord deux hommes et un bébé-vache, mais super mignon le bébé-vache, avec des poils aussi doux que ceux d'un lapin et aussi soyeux. Moi je discutais avec les gens qui étaient là, et puis les deux hommes sont venus vers moi et m'ont confié le bébé-vache (j'insiste sur "bébé-vache" car dans mon rêve ça s'appelait "bébé-vache" mais ça n'y ressemblais pas du tout, à cause de longs poils tout doux et tout soyeux et puis il était tout petit et avait la tête mi-vache, mi-lapin, ce bébé-vache, nan mais super mignon le mix en fait). Bref, je prends le bébé-vache dans mes bras et je le caline, je le berce et tout. Il s'endort paisiblement dans mes bras, je lui fais des bisous.
Ensuite, hop, je suis chez moi et je vois mon homme avec deux tartes faites maison dans la main, alors je lui dis "ah ouais c'est cool, t'as cuisiné rien que pour nous ? viens on s'fait un ptit dîner aux chandelles ce soir...." et lui il me répond "nan mais là tu vois jvais à mon taf, on ramène tous un truc, et on va s'faire une méga bouffe" et jlui dit "t'es en train de me dire que jvais passer la soirée encore toute seule ?"

Et voilà.

Je rêve souvent des nazis... allez savoir pourquoi...

Le dernier en date me mettait en scène dans ma maison... Je reçois une balle au niveau du poignet, me retourne vers un collègue et lui demande si je vais mourir. "Oui". "Ah bon ok"... ça ne me traumatise apparemment pas plus que ça... Il me fait cpdt un garrot... Et je me réveille..!

Cette nuit j'ai rêvé que j'étais sur une grande place à Paris avec mon mec, il faisait nuit, et je lui dis comme ça que je bosse dans deux bars de nuit comme gogo danseuse, il me dit "mais ça va pas ?!", et je lui répond "mais si, c'est un super bon plan, tu t'rends compte, ça nous fera 2000 euros de plus par mois !" il fait la gueule et s'en va, et moi je pars en direction d'un de ces bars...

Ensuite, je suis dans un espèce de grand entrepôt, y'a plusieurs bureaux, visiblement ça ressemble à un grand dépôt-vente de sappes, d'ailleurs, y'en a partout, des sappes, et puis je suis là, jme ballade avec un ptit sac, du genre jfais mes emplêtes et tout... Puis à un moment, on me montre un bureau et on me dit "bin voilà, c'est votre poste", alors confiante, jm'installe, plutôt contente, et puis je vois les personnes sensées être mes collègues, je les trouve cool, jme dis "ça va, ils ont l'air cool ici" et hop, fin.

Cette nuit, j'étais dehors, y'a un truc qui s'passait très très mal, mais je ne sais plus quoi. Je me suis retrouvée dans une pièce avec du monde qui parlait, la lumière était tamisée et on aurait dit un genre de bar-café très bruyant, moi je crois que je pleurais. Et là y'a un gamin qui est venu, mais très jeune, je sais pas il devait avoir dans les 12 piges, et il s'est assis en face de moi et m'a parlé. De quoi ? je ne sais pas, tout ce que je peux dire c'est que sa présence me réconfortait et ses paroles me faisaient l'effet d'un boost immédiat. Tout le temps qu'il était là, en face de moi puis à mes côtés, je ressentais quelque chose en plus, une force.

Avec tout ça, j'ai failli oublier de poster mon rêve de cette nuit.

C'était bizarre, dans mon rêve j'avais 18-19 ans et je marchais dans mon quartier d'avant.
Mais le plus étrange c'est que j'avais conscience que je me retrouvais dans la peau de mes 19 ans avec tout le décor, les gens de cette période, alors que je savais qu'en vrai j'étais une femme adulte, maman et tout. C'était comme si je savais que c'était éphémere le fait de me retrouver dans ce moment, comme si je savais que je l'empreintais au passé...
Tout le long où je marchais, j'étais avec une ancienne amie à moi (perdue de vue depuis en vrai) et on se parlait, jme souviens lui avoir dis "jsuis contente de revivre ce moment parce que je sais qu'à ce moment mes grands-parents sont encore vivants et Gaby aussi"........
Ensuite, il a plu, très fort, puis de la grêle, très forte. Je la ressentais, elle me faisait mal. On a couru, mais pas paniquées pour un sou, on courait parce qu'il le fallait, sans plus, et puis ça nous faisait rire je crois. On s'est abritées sous un hall d'immeuble que je connais très bien d'ailleurs puisque mes grands-parents y habitaient (dans l'immeuble, pas dans le hall).

Ensuite, je sais plus, jme retrouve chez moi, là, actuellement, et je vois qu'il y a pleins de chatons, j'ai même pas le temps de me demander d'où ils sortent, que soudain, je regarde vers mon balcon et je vois un petit chaton grandement menacé de tomber du balcon (ndlr, je suis au quatrième étage) j'ai juste le temps de crier "Attention !!!!" et jme réveille.

Moi cette nuit, j'ai rêvé que j'étais enceinte de mon amoureux.

Cette nuit, j'ai cauchemardé qu'Al Paccino tuait une femme de sang froid. Il était infâme, cruel. C'était horrible.

Cette nuit j'étais dans un grand parc style les Buttes Chaumont en plus joli, plus coloré, et j'étais avec mes filles. On se baladait et puis à un moment y'avait une sorte d'hôtel un peu désaffecté, mais on y va. A l'intérieur je vois une amie d'enfance avec des types qu'elle connaissait. L'un de ces types avait un gros Rottweiller et moi je m'inquiétais car y'avait soudainement mon chien avec nous et jdis à ma cops "mais dis donc, il va le bouffer le Rott, mon chien, nan ?" et elle me dit "ouais ça craint, ton chien est trop fou" ( en plus cépafo ). Y'avait plusieurs pièces vides, mais avec des types vraiment chelous, bref, je sentais pas du tout l'atmosphère et on part de cet hôtel. Là y'a un de ces type qui me dit qu'il nous raccompagne mes filles et moi jusqu'à la sortie du parc, on marche, on arrive à la sortie du parc, je vois des palmiers partout, des tramways orange, des belles avenues arborées, des magasins lumineux, le ciel est super bleu, il fait beau et tout. Je dis aurevoir au gars et on continue tout droit. A un moment, je réalise que je dois être très loin de chez moi, et je vois ma plus petite louloute très fatiguée. Alors je m'arrête à une sorte de boulangerie, mais en fait c'était plus un snack, jsais pas trop. Y'a un couple qui est au comptoir, ils parlent espagnol. Je me dis que je dois pas être en France c'est sur. Mais quand même, j'arrive vers eux et leur dit en français "bonjour, s'il vous plaît vous pourriez m'indiquez le chemin pour aller à une gare ? et aussi, auriez-vous un truc à manger, ma ptite n'est pas très bien là" et le type me tend un paquet avec à l'intérieur des sucettes au miel. Je sors de mon sac un énorme porte-monnaie, je l'ouvre pour le payer et je vois que dans mon porte-monnaie j'ai des pièces mais aussi des petits jouets en miniatures, des bijoux... Le type me fait signe que non, pas la peine de payer, qu'il nous offre ces sucettes au miel pour les petites. Je le remercie, je suis super étonnée, mais très heureuse en fait. Et puis la dame me sort une carte géographique et m'explique en espagnol que la gare c'est loin. Je constate en regardant la carte qu'elle est en train de me montrer une ville au Brésil, et que c'est là que nous sommes ! Je réalise donc qu'en effet je suis très loin de chez moi, mais c'est pas grave, je panique pas du tout. On sort de cette boulangerie-snack, je prends ma plus petite dans mes bras, et je tiens la main à mon autre fille et puis on stagne là. Je regarde la rue, elle est belle, ensoleillée, mais un peu vide à mon goût. Y'a un tramway qui s'arrête devant nous, je ne le prends pas, je ne bouge pas en fait. On attend en fait, mais on attend quoi ? j'en sais rien.
Voilà.

Tu fais toujours des rêves qui me fascinent, fleurette !

C'est une déclaration?

Je suis sur mon vélo, me rendant chez mon copain. Je viens d'arriver dans sa ville natale et je suis perdue, je ne reconnais pas le chemin. Je suis au bord d'une grosse route.
A ma gauche, il y a une petite rue qui descends à peine, en face la rue débouche sur un petit rond-point et à ma droite je vois une rue qui monte dans un sens presque opposé au mien. Je n'arrive pas à traverser la grosse route, et cela ne me dit rien de rouler avec toutes ces voitures.
Je me mets à gauche, sur le trottoir d'herbe et je commence à descendre. Je suis descendue de mon vélo et je sautille, j'enjambe ainsi une petite marche en pavés de marbre à cloche-pieds. Je m'avance pour voir le nom de la rue où je me trouve. Sur le panneau, il y a le début du nom "Rue..." puis "Plan en cours". Je n'y comprends rien.
J'essaie d'aller dans la rue suivante du carrefour (en face donc de celle d'où je viens). Mais là je me heurte à une palissade en bois ! Il est écrit en blanc sur un petit panneau rouge "Plan 1 an" Qu'est-ce que ça veut dire ? La rue sera ouverte et sur le plan dans un an ?! O_o
Je ne sais pas quoi faire. Au loin j'aperçois ce petit rond-point que je connais bien. Je gare mon vélo dans la petite rue de gauche sur un trottoir, le long d'une barrière blanche en béton. Là je pose mon sac à dos et mon sac à mains, par terre sous le vélo.
J'entre dans un bar et je demande une rue à la dame que je vois au comptoir. Cette rue ne lui dit rien alors je lui demande la rue où habite mon copain.
Là elle me sort le plan du calendrier des postes et me dit d'aller voir Valérie. Comme si je savais qui c'est moi, Valérie ! C'est la première fois que j'entre dans ce bar... Une autre dame me la montre : c'est cette jeune femme blonde dehors, avec son short ultra court en jean. Elle est en train de laver des voitures au "Wash service" et me montre un chiffon blanc sur lequel il y a plein d'écritures.
J'aperçois alors mon copain, en sortant du bar, et je me dirige vers lui.
Lorsque je me retourne, Valérie a disparu et j'aperçois deux jeunes en train de voler le dessus de sa table de travail. Ils sont dans la rue qui monte. Je les interpelle en souriant : "Rendez-moi les chiffons, quand même..." L'un deux me les envoie et ils partent.
Bon pas besoin de retourner dans le bar vu que mon copain est là et connait le chemin pour aller chez lui. Je lui dis "Vite, on s'en va !" On retourne chercher mon vélo. Il me fait remarquer que je ne suis pas super bien garée... Mon vélo est en appui sur la roue arrière... Je comprends vite que c'est lui qui l'a changé de place, le sien est posé de la même façon.
Soudain, il y a plein de gens dans la cour, ils discutent avec nous. Ce sont tous des amis de mon copain que je connais peu. Je crois comprendre qu'une fête se prépare.
Je leur dis que j'ai bien fait de laisser mon vélo là (en pensant que du coup il y avait plein de monde pour surveiller mes affaires) Je prends mes sacs.

Cette nuit j'ai rêvé de la photocopieuse...
J'avais des photocopies à faire, et j'étais légèrement à la bourre.
Et donc j'arrive devant la machine, et elle est très chaude : normal, Valérie a mis le café en route. (Oui cette photocopieuse fait le café...)
Et là je sais plus comment mais je vois une blatte qui sort de la photocopieuse...
Fin du rêve.

J'aurais dû l'écrire ce matin, je pense que j'en aurais mis plus...

Une blatte ? tu as regardé Men In Black hier soir ?

J'ai rêvé que je me ramenais chez une amie avec une rose entre les dents, comme ça, par hasard, et que c'était son nouveau copain qui m'ouvrait, et il piquait une crise de jalousie, et c'est pas possible que je me amène par hasard chez elle avec une rose, on était amants et tout.
Du coup en voulant me frapper il tombe et se fracasse le crâne dans la rambarde d'escalier, la voisine qui est une copine, alertée par les cris appelle les flics entre temps et guette la scène depuis son judas.
Lui il veut pas me croire bien que j'essaie de lui expliquer calmement que y'a pas d'ambigüité, il se relève pour me frapper mais la voisine sort de chez elle avec un couteau cranté et lui en fout un coup dans le dos mais elle se rate, du coup il lui arrache des mains et fait disparaitre 15cm de lame dans son flanc. Elle tombe avec.
Moi je lui fous un uppercut qui le ait basculer par dessus la rambarde et sa tête heurte les escaliers à chaque étage.
Sur ce, les flics arrivent, et me mettent en joue, je leur dit que c'est pas moi le violent, mais l'autre en bas, bande de nazes, et je cours vers la copine qui git avec son couteau planté: elle l'enlève et la copine que j'étais venue voir vient pleurer en se penchant sur elle.
Je crie aux flics qu'ils se dépêchent d'appeler une ambulance, bande de glands, quelle est mal en point.
Je me penche pour prendre des nouvelles des filles, ça a l'air d'aller.
Je me réveille.